Les intérimaires : Comment ça se passe quand on est malade en intérim ?

Lorsqu’un intérimaire est malade, il touche un complément de salaire de la Sécurité sociale égal à 50% de son salaire journalier de base. Ce calcul est effectué sur la moyenne des salaires bruts (soumis à cotisations) des 3 ou 12 mois précédant l’arrêt. Mais comment cela se passe-t-il en pratique ?

Si vous êtes malade en intérim, vous bénéficierez donc d’un complément de salaire de la Sécurité sociale égal à 50% de votre salaire journalier de base. Ce complément de salaire sera versé directement à votre agence d’intérim, qui vous le reversera ensuite.

Comment ça se passe quand on est malade en intérim ?

En cas d’arrêt maladie, l’intérimaire reçoit un complément de salaire versé par la Sécurité sociale égal à 50% de son salaire journalier de base. Ce calcul est effectué sur la moyenne des salaires bruts (soumis à cotisations) des 3 ou 12 mois précédant l’arrêt.

L’intérimaire doit fournir à son employeur une attestation d’arrêt de travail établie par son médecin. Cette attestation doit mentionner la durée de l’arrêt de travail prévue.

  • Si l’arrêt de travail est inférieur à 8 jours, l’employeur doit rémunérer l’intérimaire pour les jours travaillés.
  • Si l’arrêt de travail est supérieur à 8 jours, la rémunération de l’intérimaire est assurée par la Sécurité sociale.

L’intérimaire a droit aux mêmes indemnités journalières en cas d’arrêt maladie que les salariés titulaires d’un contrat de travail à durée indéterminée.

Toutefois, il est important de rappeler que l’intérimaire n’est pas affilié à la Sécurité sociale de façon permanente. En cas d’arrêt maladie, l’intérimaire doit donc fournir à son employeur une attestation d’arrêt de travail établie par son médecin.

Comment justifier une absence au travail sans arrêt maladie ?

Il y a plusieurs raisons qui peuvent justifier une absence au travail, sans pour autant nécessiter un arrêt maladie. Parmi celles-ci, on peut citer les congés exceptionnels, comme le décès d’un proche ou la maladie d’un enfant. Ces congés sont généralement validés par l’employeur, et ne nécessitent donc pas de certificat médical.

Il est également possible de prendre un congé payé, mais dans ce cas, il faut obtenir l’autorisation préalable de l’employeur. De même, si vous devez vous absenter pour un rendez-vous médical, vous pouvez le justifier auprès de votre employeur sans avoir à produire un certificat médical.

Enfin, il existe certaines absences qui ne peuvent pas être justifiées, comme les congés sans solde ou les congés de maladie non-indemnifiés. Dans ce cas, vous risquez de devoir vous justifier auprès de votre employeur, et vous risquez également des sanctions, comme une diminution de salaire ou un licenciement.

Comment justifier son absence sans justificatif ?

Il y a plusieurs raisons qui peuvent expliquer pourquoi vous n’avez pas de justificatif d’absence. Si vous avez été absent pour raisons personnelles, telles que des vacances ou un congé, vous n’avez pas à fournir de justificatif. Cependant, si vous avez été absent pour une raison médicale, vous devez fournir un certificat médical.

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Si vous n’avez pas de justificatif, vous pouvez quand même essayer de justifier votre absence auprès de votre employeur. Par exemple, si vous avez été absent pour raisons personnelles, vous pouvez expliquer que vous aviez besoin de vous reposer ou de prendre un congé. Si vous avez été absent pour une raison médicale, vous pouvez expliquer que vous avez été malade ou que vous avez eu un accident.

Il est important de noter que si vous êtes absent sans justificatif, votre employeur peut vous sanctionner. Par exemple, vous pouvez être mis en congé sans solde ou être licencié. Si vous êtes absent pour une raison médicale, vous devez fournir un certificat médical à votre employeur dès que possible.

Gagne l’argent en arrêt maladie :

Pour bénéficier des indemnités journalières (IJ), vous devez avoir travaillé au moins 150 heures sur la période des 3 mois ou 90 jours qui précèdent votre arrêt de travail. Si vous êtes travailleur non salarié, vous devez avoir cotisé sur un revenu au moins égal à 1 015 fois le montant du Smic horaire au cours des 6 mois précédant l’arrêt de travail.

Vous devez ensuite fournir à votre employeur une attestation d’arrêt de travail établie par un médecin. Cette attestation doit mentionner la date de début de l’arrêt de travail, la durée prévue de l’arrêt et le motif de l’arrêt.

Votre employeur doit ensuite adresser cette attestation, ainsi qu’un formulaire de demande d’indemnisation, à la caisse d’assurance maladie dont vous dépendez. La caisse d’assurance maladie vous enverra ensuite une notification d’attribution ou de refus d’indemnisation.

Si votre demande d’indemnisation est acceptée, vous recevrez vos indemnités journalières à partir du 8e jour d’arrêt de travail. Les indemnités journalières sont calculées en fonction de votre salaire brut habituel. Elles ne peuvent pas être inférieures à 60% du montant du Smic horaire.


Les intérimaires bénéficient d’un complément de salaire de la Sécurité sociale lorsqu’ils tombent malades. Ce complément de salaire est calculé sur la base de la moyenne des salaires bruts (soumis à cotisations) des 3 ou 12 mois précédant l’arrêt. La Sécurité sociale verse ce complément de salaire directement à l’agence d’intérim, qui le reverse ensuite à l’intérimaire.

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